pompeur86

Pour cela, j'ai dû attendre mes 19 ans, j'attendais ce moment depuis plusieurs années...Puis c'est arrivé, avec un homme de 20 ans mon aîné:

Rencontré sur internet, nous nous sommes donné rendez-vous dans un petit hôtel de Poitiers. Tout est allé très vite: une fois dans la chambre, Daniel a sorti son sexe. Immense, démesuré à mes yeux de jeune homme inexpérimenté, il était en érection complète.

Nous n'avons pas échangé un seul mot ce soir-là. Daniel s'est approché de moi et a entrepris de me déshabiller. J'étais terrifié mais aussi parcouru d'intenses frissons de plaisir. Sa chaleur, son souffle, son corps puissant que je sentais se presser contre moi me donnaient un grand plaisir.

Je sentais son gland frotter contre mes abdos. J'ai le souvenir qu'il était chaud et j'ai tout de suite adoré son contact sur ma peau. J'étais tellement bien. Daniel était doux, son désir était sûrement immense, mais il le contenait pour ne pas me brusquer. Détournant un instant mon regard de sa queue, je l'ai regardé dans les yeux. Nous nous sommes regardés un moment, puis j'ai pris son sexe dans mes mains. Je voulais le toucher, le sentir pulser.

Malgré mon inexpérience, Daniel n'avait pas à me dire ce qu'il fallait faire. Je savais qu'il allait falloir le sucer. J'en avais envie, sa bite était tellement belle, chaude dans mes mains, je voulais le sentir dans ma bouche. Alors je l'ai fait. J'ai sucé Daniel et au fond de moi, j'ai su que je ne reviendrais jamais en arrière. C'était fabuleux, et j'ai goûté avec avidité et ferveur chaque seconde de ma première fellation. Je me sentais tout puissant, j'avais un homme superbe dans la bouche, je sentais son plaisir.

Habitué à être ainsi honoré, Daniel était très endurant, et c'est au bout d'une heure qu'il se libéra enfin en moi. J'eus le plaisir de goûter son sperme: abondant, épais, avec un petit goût sucré qui me surpris agréablement.

Daniel devait malheureusement quitter Poitiers et je ne le revis qu'une fois. Sachant son départ définitif, je le suçais une dernière fois, avec toute la ferveur que je pouvais rassembler. Je crois que j'étais amoureux, mais je n'aurais pas eu le temps d'en être certain.